La Loi Kouchner du 4 mars 2002 a créé un système d’indemnisation des victimes de fautes médicales ou d’accidents médicaux non fautifs, d’infections nosocomiales ou d’affections iatrogènes.
L’accident médical ou erreur médicale désigne un événement indésirable survenu au cours d’un acte de soin, de prévention ou de diagnostic.
Il peut s’agit d’une faute médicale, ou d’un accident médical non fautif, appelé aléa thérapeutique.
Il entraîne un dommage anormal au regard de l’évolution prévisible de votre état de santé.
Les situations sont multiples : manquement au devoir d’information, geste opératoire maladroit, infection à la suite d’une intervention chirurgicale, accouchement mal pris en charge, traitement défectueux…
La procédure d’indemnisation des accidents médicaux ou erreurs médicales est particulièrement complexe.
Elle peut se dérouler devant les Juridictions de l’ordre judiciaire ou administratif selon les cas, mais également devant la Commission de Conciliation et d’Indemnisation des accidents médicaux.
Quelle que soit la procédure envisagée, il est indispensable de vous assister des conseils et de l’assistance d’un avocat spécialiste qui saura mener à bien l’indemnisation de toute atteinte corporelle en lien avec la responsabilité médicale.
Maître CASTILLAN-AÏELLO étudiera le dossier de manière approfondie et mettra en œuvre la procédure adéquate.
Elle vous permettra d’obtenir la meilleure indemnisation possible.
Dans le cadre de soins psychiatriques sans consentement ordonnés à la suite d’une déclaration d’irresponsabilité pénale, l’article L.3211-12 du Code de la santé publique impose au juge, avant toute mainlevée de la mesure, de recueillir deux expertises psychiatriques réalisées par les médecins inscrits sur les listes prévues par l’article L.3213-...
Le décret du 9 septembre 2025 met en place un dispositif destiné à mieux anticiper la fermeture de cabinets médicaux ou de postes en centre de santé, afin de préserver l’accès aux soins sur le territoire...
La loi n°2025-623 du 9 juillet 2025 marque un tournant dans la protection des professionnels de santé face aux violences et outrages dont ils peuvent être victimes...
Le 23 juillet dernier, la Chambre criminelle de la Cour de cassation a été saisie de trois questions prioritaires de constitutionnalité (QPC) relatives à l’article L.3421-1 du Code de la santé publique, qui réprime l’usage illicite de stupéfiants...
Un arrêté du 8 juillet 2025 porte diverses dispositions relatives à l'organisation de la permanence des soins dans les établissements publics de santé et dans les établissements publics d'hébergement pour personnes âgées dépendantes...
Nous avons recours à des cookies techniques pour assurer le bon fonctionnement du site, nous utilisons également des cookies soumis à votre consentement pour collecter des statistiques de visite. Cliquez ci-dessous sur « ACCEPTER » pour accepter le dépôt de l'ensemble des cookies ou sur « CONFIGURER » pour choisir quels cookies nécessitant votre consentement seront déposés (cookies statistiques), avant de continuer votre visite du site. Plus d'informations